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Tuesday, July 11, 2017

MALALISON ... OU MARARISON ISLAND ?

Cela va bientôt faire quatre ans que je ne suis pas retourné à Malalisol Island.

Mon ami Nico, Instructeur de plongée et qui réside à Boracay, se rend souvent dans ces parages afin d'y découvrir de nouveaux sites de plongée. Sa Bangka à balanciers, équipée de cabines et toilettes, peut vous y transporter en quelques heures. N’hésitez pas à me contacter pour plus d’information.

Située non loin de Boracay, avec également des plages de sable blanc, Malalison Island peut-être une bonne alternative à ceux qui souhaitent un peu plus de calme et de tranquillité.

Ceci tout en bénéficiant des plages de sable blanc, des eaux turquoise, des coraux, des paysages marins, des poissons (pêche), de la flore et de la faune que l’on peut trouver sur et autour de Malalison Island.



Profitez-en maintenant cela ne saurait durer.

Pas d’hôtels, de resorts, de restaurants, presque la vie du Robinson, mais avec de nombreux vendredis tout de même et croyez-moi, vous ne mourrez pas de faim.  

Si Boracay se situe tout au nord de de l’île de Panay, au centre des Visayas, Malalison se situe sur la partie Nord-ouest à une vingtaine de minutes par pirogue motorisée de la ville de Culasi.

En gros, de Boracay descendre une centaine de kilomètres plein sud, sur la carte tout du moins, vous allez trouver Culasi. 

De Caticlan ou de kalibo comptez d’une à deux heures par la route.

Trop de monde sur Boracay de nos jours !
Trois ou quatre rangées de restaurants, resorts, hôtels, bars et boutiques de souvenirs, tout cela à traverser avant que d’accéder aux plages, plages souvent encombrées de tables de chaises et d’adeptes de la ‘’bronzette’’.

Si vous ajoutez à cela, vous avez lu mon post, qu’il est désormais interdit de faire l’amour à Boracay !

Personnellement, pas vraiment mon truc, mais à chacun ses goûts et ses couleurs.
Parfait pour ceux qui aiment que cela bouge, que cela remue, de jour comme de nuit …
Pour les jeunes qui aiment la vie nocturne.



Maintenant pour une retraite semi-monacale … oubliez.
Idem pour les amoureux de grands espaces … oubliez.
De plus cela revient relativement cher.

La province d’Antique a décidé, par l’intermédiaire de son Gouverneur Exequiel Javier et son Officier Provincial en charge du tourisme RG Gayatin, de développer un tourisme plus nature que celui proposé à Boracay.

Une des premières destinations qui est proposée : la ville de Culasi et l’île de Malalison, l’île de 52 hectares qui fait face à la ville.

« Venez dans la province non polluée d’Antique », nous dit Gayatin.
‘’Nous avons mis en place un code de conduite afin de protéger l’environnement, nous ne voulons pas suivre la voie de Boracay, nous voulons faire les choses autrement dans un environnement protégé’’.

La province dispose de montagnes, le Mont Madia-As culmine à 2.117 mètres et il n’est pas tout seul ; de la verdure, la jungle est un peu partout, des sites de plongé reconnus par les plongeurs du monde entier, des chutes d’eau spectaculaires, une vie marine abondante, des sports aquatiques, des rivières propres, des sanctuaires de chauves-souris et de poissons, de nombreux récifs coralliens intacts, des terres d’aventures et une excellente nourriture à base de crustacés, de poissons et de fruits de mer.

Plusieurs solutions pour se rendre à Culasi, puis à Malalison Island.


L’avion ou le ferry jusqu’à Iloilo, puis trois heures de bus.
L’aéroport de Caticlan et une à deux heures de route.
Ou celui international de Kalibo et deux heures de bus.

Enfin, la solution que nous avons retenue, le ferry de nuit à partir du port de Batangas à destination de Caticlan et le bus jusqu’à Culasi.

Il y a de l’animation, de quoi se distraire toute la nuit, sur le pont supérieur du ferry ; pont qui est ouvert, mais néanmoins couvert.

Une barque de pêche à balancier pour la traversée maritime entre Culasi et Malalison.
L’approche se fait dans des eaux de Crystal et vous pouvez voir de nombreux coraux, des bancs de poissons, des étoiles de mer, malheureusement quelques endroits semblent avoir été détruits à la dynamite.

A l’arrivée sur l’île, après une courte traversée maritime qui dure entre quinze et vingt minutes, débarquement. Des plages, une longue barre de sable blanc et des montagnes, ou plutôt collines, qui présentent de gracieux contours.

A peine posé le pied sur le sable, un ancien du village va vous bénir en faisant sur votre front le signe de croix avec du gingembre, à ce qu’il semble mélangé à sa salive. J’espère qu’il a été récemment revacciné ce vieil homme. Le gingembre se nommant ici ‘’Luya’’, j’ai donc tout simplement appelé ce rituel ‘’l’Alléluia’’.

Il s’agit d’une très ancienne coutume qui est censée assurer au visiteur une journée plaisante et paisible. Certainement d’une grande utilité du temps ou pirates, coupeurs de têtes et bandits de grands chemins sévissaient dans la région. Ce n’est pas la seule province dans laquelle se perpétue cette tradition ; Samar et quelques autres endroits du nord du pays, entre autres,  utilisent ce même rituel.  

Si le nom de l’île s’écrit bien Malalison, cela se prononce d’une façon qui ressemble plus à quelque chose comme ‘’Ma-ra-ri-sn’’ Island.  Malalison peut également s'écrire ''Mararison''.     


Une petite grimpette sur la plus haute des collines s’impose, il existe un petit sentier et de là haut … vue imprenable sur 360 degrés. Cela vous permettra également de découvrir une splendide petite anse qui se trouve bien abritée de l’autre côté de l’île.

Les collines ressemblent étrangement à des mini-chocolate hills, ces collines de couleur chocolat (en saison), que l’on trouve sur l’île de Bohol.

De là haut il vous sera possible de découvrir l’ensemble de la chaîne du Mont ‘’Madia-As’’, cette chaîne de montagnes, dont le point culminant se situe à 2.117 mètres au-dessus du niveau de la mer et qui sépare l’île de Panay en deux, d’Aklan à Iloilo.

En fonction de votre condition physique et de votre état de fatigue, la nuit passée sur le pont supérieur d’un ferry par exemple, comptez entre trente et quarante-cinq minutes pour l’ascension. Une petite demi-heure de contemplation et à reprendre votre souffle, temps de descendre sur la petite anse idyllique pour y faire trempette.

Il est possible de passer une nuit chez l’habitant ou dans un petit hall mis à la disposition des gens de passage. Comme pour de nombreux autres endroits un peu isolés et, pour l’instant tout du moins, hors des circuits touristiques de masse, soyez prévoyant. Un peu de nourriture, boissons, sac de couchage, couverture, lampes électriques, Katol ou crème contre les insectes, pantalon long et chemise à manches longues, etc. en fonction du ‘’confort’’ que vous souhaitez.


N’oubliez pas vos masques, palmes et tubas.

Les locaux ne s’occupent pas vraiment d’entretenir l’endroit et pour l’instant il n’y a que des projets de développements touristiques modestes. Souhaitons, espérons, prions pour que cet endroit garde son charme authentique et ne devienne pas un jour prochain … un autre ‘’Boracay’’.

Deux autres îles que nous visiterons prochainement Maningning (ou Maniguin) et Batbatan.
Il existe également un minuscule petit joyau du nom de ‘’Seco’’ Island … mais beaucoup plus en mer et pour une prochaine fois.

Climat : saison des pluies de mai à septembre, relativement sec le reste de l’année.

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Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.

Excellente semaine à tous, que la Force soit avec vous.


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Monday, July 10, 2017

L'ÎLE DE CANIGAO ... UNE PERLE !

Si vous suivez ce blog, vous le savez, l’archipel philippin se compose de sept milles cent sept îles. 

Nombreuses sont celles qui sont inhabitées et certaines ne possèdent même pas de nom officiel. Les locaux leur en donnent bien un, mais ces noms n’apparaissent sur aucune carte.


Canigao Island

Qui dit îles, dit plages ; nous sommes sous les tropiques et avec plus de trente-six mille kilomètres de côtes, ce ne sont pas les plages qui manquent.

Je souhaite vous faire découvrir des plages qui se situent en dehors des sentiers battus, des plages qui se trouvent sur des îles dont vous n’avez certainement jamais entendu prononcer le nom.

Pour ceux qui aiment les belles plages, la nature et surtout découvrir de nouveaux horizons, des endroits où l’on trouve la tranquillité, des places où il est possible de gouter pleinement au calme et à la décontraction, tout en contemplant des paysages magnifiques…  suivez-moi.

Je comprends parfaitement que nombreux sont ceux d’entre vous, surtout parmi les plus jeunes, qui aiment les endroits où ça bouge, où ça remue, où l’on s’amuse entre amis dans une ambiance de fête. Ceux la préféreront assurément  les plages à la ‘’mode’’ comme Boracay, Puerto Galera, El Nido, voire Samal Island ou San Fernando la Union. Rassurez-vous, il y en a d’autres, des plages à la mode.

Suivez-moi, nous partons aujourd’hui pour Canigao Island, un îlot perdu qui se situe au large des côtes de la province de Leyte.
Quand je dis au large… pas plus de trois, peut-être quatre kilomètres au grand maximum. Je ne saurais que vous conseiller de prendre la météo avant de partir, l’îlot ne présente aucun abri en cas de typhon.

Nous prenons l’avion à l’aéroport de Manille (RPLL-MNL) en direction de Tacloban (RPVA-TAC). Un peu plus d’une heure de vol et nous arrivons à l’aéroport D.Z. Romalduez, l’aéroport de Tacloban. Prenons un taxi, ou un van pour les groupes (70 à 120 pesos) et demandons au chauffeur de nous emmener au terminal des bus, terminal qui se situe en centre-ville. 


Airbus A330 de Cebu Pacific

Là nous avez le choix, le bus ou le van… le van est climatisé, le bus pas toujours, mais d’un autre côté, à mon avis tout du moins, il y a plus de place dans le bus que dans le van. Nous demandons au conductor, celui qui donne les tickets et empoche le prix de la course, de bien vouloir nous indiquer quand nous serons arrivés à Matalom et de bien vouloir nous arrêter en face de la place municipale de cette ville. Le coût du transport, cent cinquante pesos par personne (P.150) pour un trajet qui va durer environ quatre heures.

Le bus s’arrête en face de la place, nous descendons et demandons au premier passant de bien vouloir nous indiquer la direction du quai où se trouvent les Bangka qui se rendent à Canigao. Le quai se situe à quelques centaines de mètres de là et il est tout à fait possible de s’y rendre à pied. Il y a aussi la possibilité de prendre un tricycle, le prix de la course est de sept pesos (P. 7).  

Arrivés sur le quai, une petite cabane où l’on achète son ticket pour l’aller et le retour.
Sauf changement récent, vous devriez payer soixante pesos (P. 60) pour l’aller retour.
Attention que, plus de transport après dix-sept heures, la Bangka ne reprendra du service qu’au petit matin, quand le jour sera levé.


La Bangka qui fait la navette

Nous montons à bord avec armes et bagages et, après un bon quart d’heure d’attente, c’est le départ.
Le moteur démarre, un matelot fait reculer la barque avec une perche, un cent quatre-vingt degrés et ‘’vogue la galère’’ en direction de Canigao Island que l’on distingue au loin, une touffe de verdure sur le bleu de l’océan. 

En approchant de l’île nous distinguons une longue plage de sable blanc, quelques habitations (?), en fait des huttes locales et la verdure de la végétation. Le phare, qui se trouve de l’autre côté de l’île, n’est pas visible.

Ce qui n’était, il y a encore peu, qu’un simple abri de pêcheurs, est en train de devenir un lieu touristique des Visayas Orientales. Aussi, je vous déconseillerais de vous y aventurer durant les mois de mars, avril et mai (plus particulièrement les week-ends), mois qui sont aux Philippines la période des grandes vacances scolaires. Bien que, sauf durant la semaine Sainte, il n’y a pas foule.

Que faire à Canigao ?
Vous pouvez installer, ou faire installer un hamac, vous allonger, fermer les yeux et vous laisser bercer par la brise légère qui baigne régulièrement cette perle posée sur la Himo-aw Baie. Écouter le bruit des vaguelettes qui viennent mourir sur la grande plage de sable blanc, ouvrir les yeux et, tel un capitaine de galion, scruter l’horizon où se détache la presqu’île de Leyte. À la recherche de quelque danger qui pourrait menacer votre navire… Et oui, vous vous étiez assoupi, peut-être est-il temps d’aller faire une petite trempette dans l’eau turquoise afin de vous rafraîchir les idées. Magellan a visité ces côtes lors de son atterrissage sur l’archipel, l’île de Limasawa se situe à moins de soixante kilomètres dans le Sud-est de Canigao.  


Arrivée sur Canigao Island

Vous pouvez faire le tour de l’île, pieds nus, le sable blanc, contrairement à celui de granit, n’absorbe pas la chaleur et vous ne vous brûlerez pas la plante des pieds. Des plantes (pas de pieds), des fleurs, des essences rares, des arbres des régions tropicales et subtropicales, des coquillages et ces pêcheurs souriants qui vous font des signes de la main.

Nager, se baigner tout du moins, c’est ce que font tous ceux dès qu’ils arrivent. Les eaux claires et transparentes sont une invitation à la baignade que l’on ne peut refuser. Il est impossible d’y résister. Un masque et un tuba et partez à la découverte du monde sous-marin.
Les espaces maritimes du Nord et de l’Est de l’île sont des sanctuaires marins. Ce qui explique la richesse des fonds autour de Canigao. Jardins de coraux, poissons multicolores, coquillages et autres créatures aquatiques sont un enchantement pour les yeux.

Partez à la pêche avec des locaux. Les habitants de l’île sont parmi les plus amicaux de l’archipel, ce qui n’est pas peu dire de l’accueil qu’ils vont vous réserver. Il faut dire, qu’en plus de la gentillesse légendaire du Philippin, ceux-ci ont compris que le tourisme rapportait nettement plus que la pêche.

 Il n’y a pas de kayak ou de jets ski de disponibles à la location sur l’île. Néanmoins, pour ceux qui souhaiteraient faire du kayak ou du jet ski, sachez que les autorités locales autorisent tout un chacun d’apporter ses propres équipements. Il y a des aires spécialement dédiées à la pratique de ces sports.

Petite partie de la plage

Le volley-ball et le frisbee sont largement pratiqués, n’hésitez pas à vous joindre à un groupe qui pratique ces activités (en saison).

Au milieu de l’île se trouve un phare qui est l’un des plus anciens de la province de Leyte. Il est possible de le visiter, mais uniquement le matin. Du haut  de cette tour une vue panoramique époustouflante vous attend. Les îles des Camotes, Cebu, Bohol, Cagayan, Limasawa et de nombreuses autres s’étalent devant vos yeux. N’oubliez pas votre appareil photo, si possible avec un zoom puissant.

Un petit tour au marché où il est possible de trouver quelques souvenirs fabriqués par les artisans locaux ainsi qu’un peu de nourriture et des boissons. Mais ne vous faites pas d’illusions, il n’y a ni bar, ni café, pas de restaurants ni de pub et aucun supermarché ou même supérette. Soyez prévoyant, apportez quelques provisions avec vous. Dans les sari-sari il vous sera possible de trouves les basiques, mais sans plus. Savon, shampoing, quelques conserves, eau minérale, jus de fruits et sodas, peut-être de la bière et de l’Emperador si vous êtes chanceux. 

Donnez votre préférence aux poissons et crustacés, à partir de cinquante pesos (P. 50), que les locaux se feront un plaisir de vous préparer sur un feu de charbon de bois.

Il nous faut maintenant trouver un abri, que pensez-vous de cette ‘’maison’’, ou plutôt de cette cabane perchée dans l’arbre ?
Il doit faire frais là dedans à quelques mètres du sol. Ou alors un ‘’cottage’’ (500 à 700 pesos), une petite hutte qui laisse passer l’air  à travers des croisillons de bambou. Avez-vous emmené votre tente et le matériel de camping ?

Non ! Qu’à cela ne tienne, vous avez la possibilité de louer une ou plusieurs tentes. En plus de la location vous devrez également, en fonction de la surface utilisée, payer votre emplacement.
Vous souhaitez une table, des chaises ? Pas de problème, tout ceci est disponible, moyennant finances bien évidemment.  Pour ceux qui souhaiteraient un peu plus de confort, quelques chambres sont disponibles au prix fixe de mille cinq-cents pesos par jour. Mais, pour ce prix, vous bénéficiez d’une certaine intimité.

Tree house

Dix-sept heures et bien oui, il est déjà dix-sept heures, ici l’on dit 5 pm. Nous n’avons pas vu le temps passer. Prenons notre appareil photo et cherchons le meilleur emplacement  afin de prendre des photos de l’astre du jour qui va descendre rapidement avant de s’engloutir dans les flots. Quand la nuit sera venue, bien noire du fait qu’il n’y aura pas de lune, il nous sera possible de contempler la voute céleste dans toute sa splendeur, des myriades d’étoiles s’offriront alors à nos yeux.

Pas de pollution électrique sur Canigao Island, la Fée électricité n’y a pas encore donné son coup de baguette magique. Il doit bien y avoir quelques générateurs électriques, il faut bien faire fonctionner l’indispensable vidéoke et le phare, mais l’île n’est pas reliée au réseau.  

Une petite vidéo d'une minute tournée sur la plage.

À tous et à toutes, quelque soit l'endroit où vous vous trouvez sur la planète, je souhaite une excellente semaine.

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